François Hollande appelle la rédaction de RadioCockpit pour se plaindre de nos parodies
Actualités Un commentaire sur François Hollande appelle la rédaction de RadioCockpit pour se plaindre de nos parodiesRue du Faubourg-Saint-Honoré – Après avoir raccroché avec Nicolas Bedos qu’il a tancé pour s’être moqué de Valérie Trierweiler en prétendant avoir été son amant, ce fut au tour de la rédaction de RadioCockpit de recevoir un coup de fil présidentiel et de se faire vertement admonester pour les articles parodiques et satiriques que nous avons commis contre la fonction du Chef de l’État et quelques unes de ses anciennes compagnes, concubines et maîtresses.
Autant il a bien insisté sur notre latitude à continuer à brocarder Valérie Trierweiler et reconnu que nos articles sur elle le faisaient rire à gorge déployée, autant il goûte peu ceux sur Ségolène Royal qui nous égratignions régulièrement dans nos colonnes. Encore ce matin, alors que Président était en réunion important avec Manuel Valls sur la rentabilité des sociétés d’autoroutes, il a été marri de recevoir, sur son auguste iPhone, un tweet où nous nous interrogions sur la résistance à l’alcool de la Présidente du Poitou. Il avait déjà peu apprécié que nous prétendions qu’elle voulait faire construire un aéroport à son nom dans son village de résidence, qu’elle voulait réactiver les volcans d’Auvergne pour diminuer le trafic aérien ou qu’elle avait conçu l’idée des transports non-polluants de demain en regardant le film «Là-Haut!», il s’est sérieusement mis en colère à cause de l’article de ce matin et a promis que si nous ne cessions pas, il enlèverait le ‘Like’ de son compte Facebook pour le notre et ne nous suivrait plus sur Twitter. La menace est sérieuse et nous ne l’avons donc pas prise à la légère. Heureusement pour nous, il n’a jamais lu la parodie sur Julie Gayet sinon, il est clair que nous aurions passé un sale quart d’heure.
Toutefois, il a confirmé que nous pouvions continuer à exercer nos talents contre Valérie Trierweiler et a promis de nous fournir matière à quelques sujets qui devraient plaire à nos lecteurs voir même, peut-être, d’en écrire lui-même. L’entretien a été cordial et s’est terminé sur une note joyeuse puisque le Président nous a confirmé qu’il appréciait énormément quand nous nous moquions de Nicolas Sarkozy et avait même placé quelques tweets dans ses favoris. Puis, il est parti car il avait un avion à prendre.
Un commentaire
Un moment j’ai cru qu’il allait prendre l’a sans dent sur radiocockpit ! Cela aurait été difficile à avaler dans la patrie de Molaire.