Afin de vérifier la fonte de la banquise, François Hollande se pose avec deux hélicoptères sur un iceberg
Actualités, Transport Aucun commentaire sur Afin de vérifier la fonte de la banquise, François Hollande se pose avec deux hélicoptères sur un icebergReykjavik – A peine avaient-ils appris que le président français François Hollande s’était posé sur un iceberg avec deux hélicoptères que les écolo-gauchistes du parti EELV sont montés au créneau afin de dénoncer l’incohérence du président avec son discours qui prône des actions fortes pour l’écologie mais utilise des appareils à fortes émissions carbone pour des déplacements inutiles.
Manuel Valls a bien essayé de dégonfler l’affaire avant qu’elle n’arrive aux oreilles des médias, mais il était déjà trop tard quand les photos ont été publiées sur les réseaux sociaux. Les militants écologistes islandais n’ont pas manqué d’immortaliser cet instant ou avec deux hélicoptères militaires de l’armée, le président François Hollande a souhaité se poser sur un icerberg afin de constater par lui-même la fonte des glaces. Il en a également profité pour prendre quelques glaçons qui seront conservés dans une glacière le temps de les ramener à l’Élysée pour un prochain cocktail organisé par Julie avec ses amis du show-biz. Le bilan carbone de cette excursion dans les glaces de l’Arctique n’a pas encore été évalué avec précision mais il en ressort qu’il sera important et que cette petite promenade aura eu pour effet de produite quelques eaux de fonte supplémentaires. L’opposition n’a pas manqué de critiquer ce déplacement à quelques semaines de la conférence COP21 et Nicolas Sarkozy demande officiellement pourquoi le président n’est pas allé en train en Islande.
Le porte-parole de l’Élysée a promis qu’en échange, les réfrigérateurs des principaux ministères resteraient ouverts, partie congélateur comprise, pendant plusieurs heures, afin de refroidir l’atmosphère et ainsi compenser le réchauffement provoqué par les deux hélicoptères. Jean-Vincent Placé a promis qu’il était prêt à pardonner si on lui offrait un maroquin ministériel avant Noël.
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