Après le car sous un tunnel, c’est un avion qui se fait décapiter à l’aéroport de Lille-Lesquin
Actualités, Technologie 3 commentaires sur Après le car sous un tunnel, c’est un avion qui se fait décapiter à l’aéroport de Lille-LesquinLille – C’est vraiment une coïncidence malencontreuse et une extraordinaire malchance après que le car espagnol qui s’est fait décapiter sous un tunnel de Lille, les services de secours se retrouvent maintenant à l’aéroport international de Lille-Lesquin pour porter assistance aux passagers d’un avion qui a été également ‘décapoté‘ après être passé trop près du radar de la tour de contrôle qui a emporté une partie du fuselage.
L’incident est pour le moins étonnant et les équipes de pompiers ont même demandé à ce qu’un document écrit leur soit envoyé avant de se déplacer. Le capitaine de la caserne, Jules Bombardon, a cru à une mauvaise blague lorsque ses sapeurs ont été appelés et la municipalité n’a pas eu d’autres choix que de lui faire porter un papier aux armes de la ville, signé du maire, pour qu’il consente à envoyer les camions de premier secours et les équipes spécialisées. Jules a même avoué ensuite qu’il n’y croyait toujours pas quelque secondes avant de découvrir ce spectacle incroyable de cet avion d’une compagnie aérienne espagnole, en provenance d’Andalousie, ouvert comme une boite de conserve l’aurait été avec un gigantesque ouvre-boite au niveau des places avant. Pas besoin de toboggans pour évacuer puisqu’ils suffisait aux passagers de sauter dans les bras des pompiers venus les secourir. Par une chance exceptionnelle, aucune victime n’est pas déplorer, seules quelques blessures très légères et la perte d’une perruque mal collée seront consignées dans le constat fait par les gendarmes de la brigade aérienne de l’aéroport. D’après les premiers témoignages, qui restent encore à confirmer, l’avion se serait présenté trop à droite de l’axe de la piste à cause de la météo peu clémente ces jours-ci et en voulant redresser, les pilotes seraient alors passés trop près de la grande antenne du radar qui a alors cisaillé le dessus en aluminium du fuselage.
Cet incident, rarissime, a été couvert par toutes les stations locales d’informations du département et fera certainement la une des magazines télévisés. Les passagers ont eu très chaud, avant d’avoir très froid et très peur lorsque le vent s’est engouffré dans la cabine. Et quand Jean-Pierre, qui se trouvait à la deuxième rangée, a voulu régler le débit d’air de l’aérateur à cause de ce courant d’air subit, il a été fort surpris de se rendre compte que même les coffres à bagages avaient disparu. Par contre, Germaine était toujours là. Comme quoi le destin est parfois espiègle.
3 commentaires
article bidon
Photo prise sur un vol vers Hawai il y a 20 ans
Lamentable
Intelligence bidon marcel
Encore un coup des migrants ?