A Reims, les femmes qui bronzent en petite tenue seront maintenant traquées par des drones
Actualités, Technologie 5 commentaires sur A Reims, les femmes qui bronzent en petite tenue seront maintenant traquées par des dronesReims – En marge de l’affaire du bikini de Reims et de la mauvaise image que la ville a proposée aux médias nationaux et aux politiques de tous bords qui se sont emparés de l’histoire sur l’attaque d’une jeune femme en maillot de bain au Parc Leo, la municipalité envisage maintenant de traquer avec des drones, en centre-ville et périphérie, toutes les femmes qui profitent du soleil pour adopter des tenues aux limites de la décence afin de ne plus risquer d’altercations catastrophiques pour les prochaines élections.
Pour l’instant, seuls une petite dizaine de ces appareils vrombissants parcourent l’espace aérien rémois dès l’aube et jusqu’à ce que la lumière ne permette plus à leurs opérateurs de voir au sol mais déjà, les résultats sont satisfaisants et donnent l’espoir que le problème de la bronzette en solitaire soit très prochainement résolu. Les policiers municipaux ont déjà les carnets de contredanses en main et s’apprêtent, dès que l’adjoint au maire chargé des bonnes mœurs et de la salubrité morale, aura donné le top départ pour verbaliser les contrevenantes qui parsèment les parcs, jardins et même terrasses des immeubles à loyers modérés. Un collectif féminin a déjà commencé à donner la chasse aux drones afin que ceux-ci ne viennent plus les survoler et certaines comme Marie-Agnès, que l’on voit ici en photo, en ont déjà abattu deux avec un simple balai, de la dextérité et de la pugnacité. La résistance s’organise dans le pays rémois, à tel point que les pilotes de drones ont demandé une prime de risques et un statut d’agents municipaux afin de pouvoir bénéficier d’une retraite et d’avantages sociaux comme la onzième semaine de congés payés. Une prochaine réunion municipale devra évaluer leurs demandes dès la rentrée en fonction des résultats.
Une application iPhone et Android va bientôt être mise en ligne afin que les habitants puissent visualiser les endroits où ont été détectées les délinquantes. Celles-ci ont déjà réagi en mettant en ligne un hashtag #JeFaisCeQueJeVeuxDeMonMaillot. Des petits malins ont fait l’acquisition de drone, les ont maquillés en drone municipaux, avec gyrophare bleu et marquage bicolore et survolent les baigneuses qui prennent le soleil dans leurs jardins afin de les prendre en photo ou en vidéo et poster les images sur les réseaux sociaux.
5 commentaires
Malheureusement il s’agit d’un article partiellement menssongé. En effet la photo qui l’accompagne a été extraite d’une vidéo publiée en octobre 2014 et tournée en Slovaquie. Par ailleurs il s’agissait d’une parodie et Marie-Agnès, qui s’appelle plus sérieusement Natacha, est actrice de cette parodie qui dénonce l’ingérence de l’utilisation du drone dans la vie privée. A vous lecteurs, vérifiez l’info pour la dissocier de l’intox.
Eh bien , que les Rémois continuent à élire leur Maire et conseillers municipaux qui les ramènent aux niveaux plus bas que les émigrants ……………
Quand on vote pour qq un c est qu on est d accord avec ses pensées ,
les Rémois vous avez voté pour eux ……assumez votre vote , et arretez de chuiner !!!!!!!!!!!!!
Ce qu on ne vous dit pas , c est que ces petits joujoux sont munis d un paquetage largable aux contrevenantes …. Il contient une Bourka! Un grand bravo à nos politiques asexués
Dans cette lamentable histoire, il est à noter toutefois que nos médias ont indiqué le prénom de la victime car ‘média-compatible’ mais ont écarté ceux des agresseuses pour ne pas que nous, citoyens idiots, ne faisons d’amalgame.
Eh bien comme ça, il sera plus facile d’aller les tabasser. C’est le modernisme.