Houston – Cocorico, c’est une entreprise française qui vient de mettre au point une technologie absolument époustouflante et qui va sans aucun doute révolutionner le futur dans le monde entier et principalement dans l’espace en permettant, grâce à une imprimante 3D de quatrième génération, d’imprimer de l’eau à partir de ses deux éléments constitutifs.

Le procédé est encore tenu secret et devrait faire l’objet d’un brevet mondial pour cette jeune start-up française, qui ne dispose que d’une vingtaine de mètres-carré dans un incubateur de la région de Houston. La machine, qui pour le moment n’a été aperçue que de très loin afin que les éventuels pilleurs de technologie ne puissent encore essayer de la copier, va être envoyée dans la station spatiale afin que les premiers tests puissent être effectués par les astronautes et servir à des besoins réels et vitaux. L’imprimante, puisque cela en est une, fonctionne grâce à deux cartouches d’hydrogène et d’oxygène sous forme solide et caoutchouteuse qui sont mélangées à l’aide d’une buse de ré-injection pour former un liquide très présent sur Terre mais difficile à trouver dans l’espace à l’état naturel, de l’eau. C’est le principe des imprimantes 3D qui façonnent une matière pour lui donner l’aspect souhaité. Ici, avec cette invention française, deux atomes d’hydrogène sont combinés à un atome d’oxygène afin de donner le composé chimique bien connu : H²O. Grâce à l’absence de pesanteur, il devient très facile de mélanger ces deux composants et de les associer en un seul. Sylvain Malindrot, le très jeune PDG de cette société, qui a réussi à lever une mise de fond de 355 millions de dollars pour réaliser le premier prototype et le préparer pour être expédié dans l’espace, ne se lasse jamais de parler de cette invention extraordinaire. Le premier pas est la station spatiale mais grâce à sa ‘Water 3D Printer’, c’est tout l’univers qui vient de s’ouvrir à l’homme puisqu’il pourra maintenant produire de l’eau à partir de rien et s’en alimenter. Le seul défaut est que ce liquide a très mauvais goût mais est garanti sans danger pour la consommation humaine et ses propriétés sont les mêmes que l’eau naturelle.

Le projet suivant est de transformer cette impression en un mélange encore plus incroyable qui pourrait résoudre tous les problèmes de la planète. Sylvain et son équipe travaillent déjà sur ce que va être demain et devraient très prochainement finir la mise au point de sachets d’eau déshydratés. De l’eau solide en granulés que vous pourrez alors emmener partout, en grandes quantités, et utiliserez suivant vos besoins. Manuel Valls doit se rendre prochainement à Houston pour féliciter le jeune entrepreneur. On parle déjà d’un prochain Prix Nobel français pour Sylvain.