Londres – Malgré la difficulté à recenser les nombreux cas d’utilisation de ces canards vibrant parmi la population de pilotes femmes dans les compagnies aériennes occidentales, ces dernières viennent de mettre en garde le personnel navigant technique féminin de cesser d’utiliser ces canards vibrant durant les vol, leur usage mettant sérieusement la sécurité de l’avion, des autres membres d’équipage et de tous les passagers en grand danger.

C’est le fabricant de ces canards qui a fini par prévenir les autorités de tutelles de l’aviation civile internationale après avoir remarqué qu’un grand nombre des commandes provenaient de pilotes ou commandants de bord féminins. Le directeur de F#Ducks Inc. s’est ému de l’usage qui pouvait en être fait surtout lorsqu’il a remarqué que certaines des personnes sur le listing du marketing en commandaient jusqu’à 4 par an, preuve si besoin était d’un usage plus qu’intensif de l’animal dont l’usage est quand même normalement réservé à des besoins moins intenses. Une enquête, discrète, a été menée avec l’aide des instructeurs lors des vols de contrôle et des observations faites par des stewards dûment mandatés et assermentés et il en ressort que ces canards font partie maintenant du lot de bord et accompagne le personnel féminin dans tous ses déplacements, que ce soit en long-courrier comme en court. Les pilotes masculins se plaignent de plus en plus de devoir quitter le poste de pilotage plusieurs fois par vol, invoquent des vibrations qui se répercutent parfois dans tout l’appareil, provoquant inquiétude et suspicions de la part des passagers. Et que dirent des ‘coins-coins’ incessants dont le bruit s’entend dans tout l’appareil. Certains modèles, électriques se branchent sur l’allume-cigare USB du tableau de bord, entre le radar météo et la commande de train d’atterrissage et il est désagréable de devoir supporter le câble de rechargement pendant tout le reste du vol, une fois que l’appareil est vide avant une nouvelle séance. Barbara (le nom a été changé..) le reconnait: «Impossible de me passer de mon canard lorsque je suis aux commandes. Surtout depuis que je suis sur Airbus et qu’il n’y a plus de manche pour le pilote mais un joystick peu pratique.». Clara elle, admet qu’elle est devenue addict: «Je suis capable de faire demi-tour et de reposer l’avion si je me rends compte que j’ai oublié mon canard dans les vestiaires de l’équipage. Je prétexte un problème technique et hop, demi-tour.»

Cette folie féminine qui atteint son point d’orgue dans un équipage totalement féminin devient difficile à contrôler pour les compagnies aériennes. Des détecteurs de canards sont déjà en cours de mises au point et les scanners vont être réglés pour les détecter. KLM vient de mettre un terme à un trafic de canards parmi ses équipage. Stéphanie a acheté le sien en Allemagne et ne s’en séparerait pour rien au monde. A mots couverts, elle raconte la nouvelle manie des femmes pilotes qui positionnent maintenant leur canard près du pare-brise du cockpit afin qu’un avion qui les croise puisse le voir et fasse des appels de phares. Une page Facebook vient même d’être créée pour regrouper les messages de félicitations.

Facebook : #LookatmySweetyDuck