Frontière canadienne – A peine son avion posé sur le sol canadien, François Hollande, le président français a échappé à la surveillance de ses services de protection et cherché à s’enfuir aux États-Unis afin d’y demander l’asile politique mais a été rattrapé par les drones protégeant la frontière.

L’incident a été passé sous silence par les autorités canadiennes qui ont ramené le président français jusqu’à Ottawa avant de la remettre aux mains des services secrets français. Il semble que François Hollande comptait demander l’asile politique aux États-Unis et avait emmené avec lui la recette des ‘french fries’ afin de négocier au mieux avec l’administration Obama les conditions de son séjour. Malheureusement pour lui, Manuel Valls avait donné des ordres précis afin que le président ne puisse s’échapper et continue à affronter les difficultés dues aux errements de sa politique. Après avoir failli être abandonné en Irak, il devenait pratiquement certain que François Hollande chercherait à se réfugier dans un pays ami avant la fin de son mandat pour éviter les quolibets et la honte lorsqu’il devrait quitter le pouvoir. Le Canada avait été averti de ses intentions et avait déjà promis qu’il ne lui donnerait pas l’asile politique pendant les trois jours que le président devrait passer sur son territoire aussi, ce dernier n’avait pas d’autres choix que de fuir vers la frontière toute proche. Ce sont les drones de surveillance qui l’ont repéré et ont donné l’alerte aux gardes-frontière qui l’ont ensuite intercepté avant de le ramener vers la capitale fédérale sous bonne escorte. La presse a été tenue à l’écart mais la nouvelle a réussi toutefois à filtrer et quelques photos sont apparues sur les réseaux sociaux.

Manuel Valls, qui craint que le Président s’arrête avant la fin de son mandat et ne lui permette donc pas de se mettre sur orbite avant la présidentielle, envisage de placer un bracelet électronique sur l’une des jambes de François Hollande afin de pouvoir le tracer plus facilement. Kim Jong Un, le président de la Corée du Nord se dit prêt à accueillir le Président de la république si celui-ci cherche un endroit tranquille et loin des médias.