L’exposition massive aux rayonnements UV des pilotes est responsable des envies de grèves
Actualités, Transport Aucun commentaire sur L’exposition massive aux rayonnements UV des pilotes est responsable des envies de grèvesParis – C’est le résultat d’une étude étonnante mais qui va révolutionner les mentalités et assécher les habituelles critiques maintenant qu’un jeune chercheur de l’Université du Michigan, aux États-Unis, vient de démonter que l’envie de grève des pilotes français dès lors que l’on lève le moindre sourcil interrogateur sur leurs avantages sociaux et professionnels, seraient dus et s’expliquent par leur plus grande exposition au rayonnement ultra-violet et rayons-x lors des vols à haute altitude.
Après plusieurs années de tests et d’études, validés par la communauté scientifique, la démonstration a été finalement faite qu’il existait une corrélation entre les temps de présence des pilotes dans un cockpit en vol et leur envie de faire grève dès lors qu’une direction s’intéresse à leur activité. Il est donc clairement établi aujourd’hui que ce sont les rayonnements ultra-violet, combinés aux rayons gamma et rayons-x de la haute atmosphère, qui modifient les ondes cérébrales et provoquent des mutations, réversibles toutefois, des synapses et poussent les pilotes à manifester à chaque instant et à réclamer toujours plus. Une même étude a porté sur un échantillon de pilotes retraités et a mis en évidence le fait, que ne volant plus, ils n’avaient plus aucune envie de participer à des mouvements revendicatifs ou de défiler avec des banderoles, ce qui tend à prouver la validité de l’étude. On savait déjà que la taille des casquettes, trop étroites pour la tête, avait une fâcheuse tendance à faire gonfler les chevilles d’une part, et à développer une tumeur frontale appelée communément ‘melon’, d’autre part. Les directions de plusieurs compagnies françaises ont essayé de dissimuler cette étude afin de ne pas stigmatiser leurs troupes mais le CHSCT de la principale compagnie a souhaité que les résultats soient rendus publics afin que le grand public puisse enfin se rendre compte qu’il n’y avait aucune volonté d’une quelconque nuisance à faire grève pendant les vacances scolaires mais que ces arrêts de travail n’étaient que la conséquence d’une maladie qui devait être traitée comme telle. Quelques voix s’étonnent que les passagers ne soient pas soumis aux même mutations lors de vols mais il semble que ce soit l’exposition prolongée qui en est responsable et que prendre une dizaine de fois l’avion dans l’année ne fait courir aucun risque.
Le syndicat SNPL des pilotes prend en compte le résultat de cette étude bienvenue et espère maintenant que l’ostracisme qui frappe la profession dès lors qu’elle cherche à sauvegarder le service public cessera rapidement. Le syndicat demande également que l’envie de grève soit considéré dorénavant comme une maladie professionnelle et reconnue comme telle. Des discussions vont être prochainement engagées avec la direction afin qu’une période de convalescence puisse être accordée après chaque mouvement social.
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