Téhéran – Alors que le monde entier surveille l’Iran et son développement de l’énergie nucléaire dans ses centres de recherches enterrés du nord du pays, le gouvernement iranien vient de mettre la touche finale à son programme de production de son nouvel avion de chasse Qaher F313, à propulsion électrique, entièrement composé de plastique de cellulose, destiné à révolutionner le marché des avions de chasse de quatrième génération dans tout le Moyen-Orient.

L’engin, presque terminé, a été présenté aux officiels iraniens dans le gymnase où il a été assemblé dans le plus grand secret depuis plusieurs mois, en présence de nombreux dignitaires civils et militaires qui ont salué l’effort technologique du pays en matière d’aéronautique. Cet avion de chasse sophistiqué est capable d’effectuer des opérations à basse altitude, et par sa conception, il rivalise avec les avions de chasse les plus sophistiqués du monde. Les spécialistes iraniens ont franchi plusieurs étapes majeures et d’autres exploits les attendent. Motorisé par la firme suédoise Electrolux, l’avion devrait atteindre des performances stupéfiantes, aussi bien dans sa version chasseur que dans celle de bombardier basse altitude. Afin d’être totalement invisible aux radars, les ingénieurs iraniens ont développé une technique d’extrusion du plastique de cellulose qui permet de mouler la coque de l’appareil en un seul bloc et de la rendre totalement perméable aux ondes centimétrique et décamétriques, lui assurant une invisibilité encore supérieure aux appareils américains du Grand Satan. Pour simplifier le fonctionnement et la formation des pilotes, l’avionique a été réduite et construite sur la base du matériel pour ULM afin de contourner les restrictions et l’embargo américain et européen. Une partie de l’électronique est mangeable par le pilote dans le cas où celui-ci serait abattu par les forces ennemis et qu’il devrait faire disparaitre les innovations technologiques qui doivent rester secrètes.

Le premier vol est prévu dans quelques moins, dès qu’un câble électrique de bon longueur aura été mis au point par les ingénieurs qui travaillent sur le concept. Ségolène Royal, ministre de l’Écologie, mise au courant du projet favorisant l’énergie électrique par les services secrets français, a jugé ce projet très prometteur et qui permettrait une diversification des activités de Mia Electric, qui ne construit pour le moment que des voitures. Elle envisage d’en doter la région Poitou-Charente avant que celle-ci ne soit absorbée par la fusion des régions prévue par son ex-mari et a déjà réfléchi à une solution de ravitaillement en vol avec des batteries dans la soute ou des éoliennes sur les ailes, et une rallonge électrique que l’appareil ravitailleur laisserait filer derrière lui et sur laquelle l’avion de chasse viendrait se connecter.