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Surprenante découverte lors de l’évacuation d’un camp de roms en Seine-Saint-Denis

Actualités 3 commentaires sur Surprenante découverte lors de l’évacuation d’un camp de roms en Seine-Saint-Denis
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Dugny – Alors que les forces de gendarmerie mobile investissaient le camp de roms situé entre la bretelle de l’autoroute et l’accès à la partie militaire de l’aéroport du Bourget, les gendarmes ont fait une découverte pour le moins incroyable permettant de résoudre un mystère vieux de plus de 35 ans et qui, à son époque, avait défrayé la chronique et provoqué la démission de plusieurs hauts responsables de l’administration des transports.

Les pelleteuses étaient à faire leur travail et commençaient à arracher plusieurs caravanes qui avaient été solidarisées entre elle lorsque le coté d’un petit hangar est tombé sur plusieurs voitures qui se trouvaient là, en piteux état, servant visiblement de magasin de pièces détachées. Les ouvriers sont alors allés chercher une grue mobile afin d’enlever le toit qui menaçait de s’écrouler et c’est à cet instant que le chef du chantier a fait cette découverte absolument surprenante et, sans le savoir à ce moment, a mis fin à un mystère qui avait secoué la France des années 80 lorsqu’une nuit, un Boeing 747-100 et un Douglas DC9 avaient disparu comme par magie de l’aéroport du Bourget alors que ces deux appareils étaient en maintenance dans des hangars d’une société d’aviation aujourd’hui disparue. La police et la gendarmerie des transports avaient mené une enquête de plusieurs années sans jamais retrouver la trace de ces deux avions et le gouvernement de l’époque avait clos le dossier en prétendant que les appareils avaient décollé de nuit et quitté le territoire français. Ce que les techniciens de l’époque avaient contesté puisque les trains d’atterrissage avaient été démontés et qu’un des deux avions n’avaient plus de moteurs. Plutôt que de s’intéresser à ces détails techniques, le ministère avait mis un terme à l’enquête et remboursé la compagnie aérienne qui avait été priée de surcroît de la boucler. Ne lui restant plus qu’un seul appareil, un autre Boeing 747-100 qui lui, s’est écrasé 5 ans plus tard en Afrique, celle-ci a mis rapidement la clef sous la porte et cette disparition n’a jamais été résolue. Jusqu’à ce matin de septembre où les deux épaves ont été retrouvées dans ce terrain vague occupé par plus d’une centaine de familles de roms que le Ministère de l’Intérieur a décidé d’expulser.

L’état de délabrement de ces deux épaves laisse penser qu’elles ont été démontées morceaux par morceaux et que le métal a été revendu aux ferrailleurs de la région. Personne n’a encore compris comment elles ont pu être transportées, sans que personne ne les voient, jusqu’à cet endroit où elles ont été dissimulées pour des motifs encore inexpliquées. Une des hypothèses pourrait être que les avions auraient pu être revendus en l’état, une autre que les avions auraient servis de logement pour des marchands de sommeil. Malgré l’envie de plusieurs hommes politiques de se servir de cet événement pour fustiger la communauté rom, celle-ci ne peut être tenu pour responsable du larcin puisqu’elle n’est arrivée sur ce terrain vague que bien après la date de disparition du Boeing et du Douglas.

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3 commentaires

  1. Narine Levain 25 octobre 2014 à 11 h 54 min

    Un ferrailleur de Toulon vends l’hélice du Charles De Gaulle.

  2. Ouan Aguène 25 octobre 2014 à 10 h 27 min

    Je ne suis pas étonné ; Il y a bien un TGV dans le parking sous terrain de mon immeuble. Mais voilà, dans le 93, tout est permis…

  3. franck 25 octobre 2014 à 9 h 07 min

    la vente de ferraille à du bien arranger leur fin de mois

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